❝ NOMS: Parker. PRÉNOMS: Adam, Keegan. ÂGE: Vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Né à San Francisco, le vingt-cinq octobre. OCCUPATION: Professeur de sport dans un collège et coach de l'équipe de basket. STATUT: Fiancé. HOBBIES: Le sport, la musique, Scarlett Johansson, les soirées entre amis...❞

traits de caractère → gentil ; drôle ; altruiste ; responsable ; romantique ; doux ; jaloux ; un peu bagarreur ; fier ; sociable ; sportif ; compréhensif ; à l'écoute ; intelligent ; logique ; droit ; franc ; serviable ; curieux ; rancunier ; attentionné ; ouvert d'esprit. •••••••••••••••••••••••••••• manies, tics ou anecdotes → 01. Tous les matins, Adam a besoin de son café. Noir, sans sucre. S'il ne l'a pas, la journée commence mal. 02. Il adore le sport et étant plutôt gros mangeur, Adam a besoin de faire du sport. Ça lui permet de vider son esprit et de garder la ligne. 03. Il est plutôt câlin comme garçon. Parfois, on pourrait croire un vrai gamin, mais il est comme ça et que voulez-vous, on ne peut le changer ! 04. La musique a une place assez importante dans la vie du jeune homme. Il pratique divers instruments. D'ailleurs, lorsqu'il était au lycée, il jouait dans un groupe de rock. Plus jeune, il avait ce fantasme de devenir une rock star, mais au final, sa petite vie bien tranquille le comble entièrement. ..

❝ POURQUOI PRAGUE ? ❞ La décision de venir à Prague ne fut pas une décision prise de de plein gré par Adam. En effet, il en fut un peu forcé, mais au final, il ne regrette pour rien au monde ce voyage. Le jeune américain a hérité d'un appartement de la part d'une tante de sa mère et si au départ il avait pour projet de vendre l'appartement, Adam fit la rencontre de Karolina et finalement, il vit dans cet appartement avec sa douce et tendre moitié.

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❝ IL Y A 7 ANS ❞ Un, deux, trois pas... Okay, personne en vue. C'était bon signe. Disons que si Adam n'était pas de nature rebelle, ce soir là, il avait un peu dérogé à la règle. Son père lui avait interdit de se rendre à l'anniversaire de Bryan, un de ses meilleurs amis... prétextant le fait qu'il avait un match important à jouer le lendemain. Bon, Adam y était allé en douce et... il avait un peu bu également. Il savait cependant qu'à cette heure là, ses parents dormaient, tout comme ses petites sœurs. Il lui suffisait donc de monter dans sa chambre le plus discrètement possible et le tour était joué ! Haha, parfois il se surprenait par tant d'intelligence et de logique ! "- Je peux savoir d'où est-ce que tu viens ?". Bon, son plan ne marchait pas vraiment comme prévu. La lumière s'alluma brusquement, aveuglant le pauvre adolescent qui fut surpris de voir son père, assis dans le fauteuil du salon. A le voir ainsi, on aurait cru une réplique parfaite du Parrain... Vous savez, ce film de Coppola avec Marlon Brando et Al Pacino ! Et bah là, c'était la même chose... à une différence prêt... son père n'était pas vraiment le parrain de la mafia. Mais bon, à ce moment précis, son père n'aspirait pas vraiment la plus grande sympathie... "- Euh... je... euh... j'suis allé... euh... descendre les poubelles !". Descendre les poubelles... mais n'importe quoi ! Adam se maudissait intérieurement espérant de tout cœur que son père gobe le mensonge. Ce dernier se leva alors, impressionnant son fils qui le regardait avec de grands yeux, avant de s'approcher de lui, le regard aussi froid que l'iceberg qui a causé le naufrage du Titanic. "- Descendre les poubelles ?... Vraiment ?". Il le testait. Il n'avait aucune preuve du contraire. Adam devait donc jouer son mensonge à fond, c'était la seule solution possible. Le seul moyen pour ne pas se faire taper sur les doigts par son père. "- Euh... ouais...". Bon, ça voix n'avait pas vraiment pris le ton assuré qu'il s'était mis en tête, mais c'était mieux que rien, non ? "- Tu te foutrais pas un peu de moi, Adam ?". Et là, sans qu'il ne contrôle quoique ce soit, le jeune homme se mit à rire. Un rire bref qui ne dura qu'une demie seconde... Demie seconde qui suffit à faire le faire résonner dans le salon, attisant un peu plus la curiosité de son père. Il ne savait pas pourquoi il avait lâché ce rire débile et franchement, il n'était pas vraiment en état d'avoir la moindre logique ce soir là. "- Mais... tu as bu en plus de ça ?!?"... Okay, son père commençait à s'énerver... ça sentait le roussi... Il était piégé, pas moyen de mentir à son père, de toute façon il avait tout deviné... "- Tu te rends compte que demain, tu joues l'un des plus gros match de football de ta vie !!! Non, bien sûr, tu préfères te souler la gueule à l'anniversaire de cet abruti de Ryan au lieu de prendre ton avenir au sérieux !!!". Voila, on y était ! Le football, toujours le football ! Adam leva les yeux au ciel, prêt à se diriger vers les escaliers afin de rejoindre sa chambre au plus vite. "- C'est Bryan, pas Ry/"."- J'MEN FOU !!!". Son père était vraiment en colère et pourtant, cela ne fit que faire soupirer encore plus le jeune brun. Le football américain était un sport que Adam pratiquait depuis gamin. Et pour preuve, c'était son père qui avait tenu à ce que son fils soit initié à cette discipline... Le père Parker était un ancien joueur de football américain professionnel... il avait subit une mauvaise blessure sur un match et tous ses rêves s'étaient envolés... c'était donc tout naturellement qu'il avait reporté son rêve sur son fils prodige. "- C'est bon gueules pas ! C'est qu'un match, on s'en fou, y en aura d'autres !!". Adam tourna alors les talons, prêt à se rendre dans sa chambre lorsqu'il sentit un pression sur son poignet qui le força à se retrouver face à face avec son père. "- Ce n'est pas qu'un match Adam. C'est LE match ! Des sélectionneurs de grandes équipes seront présents !! C'est ta chance !!!". Adam soupira. "- Non, c'est TA chance, tu veux dire !". Son père écarquilla les yeux... Quoi ? C'était la première fois que Adam laissait ressortir ce qu'il pensait. D'ordinaire, il était ce garçon adorable et positif. Il ne savait pas quoi faire de sa vie et finalement, son père avait un plan pour lui. Il ne voulait pas le décevoir. Adam voulait que tout le monde soit heureux, alors il subissait en silence... Mais ce soir là, c'était à croire que l'alcool avait un effet revivifiant sur lui. "- Le football, c'est ta vie, pas la mienne ! Je m'en fou moi ! Je veux pas devenir professionnel... c'est ton rêve papa, pas le mien !!!". Voila, c'était dit et la pièce s'était brusquement plongée dans un silence de plomb. De longues secondes s'écoulèrent avant que le père Parker ne s'exprime. Calmement. Beaucoup trop calmement. "- Montes dans ta chambre, je ne veux plus te voir.". Pas d'autre recours possible. Adam s'exécuta alors, ne sachant pas vraiment si finalement, il avait bien agi ou non... Pourtant, un poids s'était enlevé de ses épaules, un poids qui l'avait torturé toute sa vie. Adam s'affala dans son lit après avoir enlevé ses chaussures et son jean et alors qu'il allait tomber dans les bras de Morphée... "- Damdam ?". Okay, il n'y avait que deux personnes sur cette terre qui l'appelaient ainsi : ses petites sœurs. Il ouvrit les yeux, découvrant sa première petite sœur le fixer : "- Hey Oli ! Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure là ?". Adam était l'aîné. Il avait également un écart d'années assez conséquent avec ses deux petites sœurs. Du coup, il avait toujours pris au sérieux sont rôle de grand frère. Ses petites sœurs étaient deux petites merveilles. Il les adorait. Il y avait sa première cadette, Olivia. Elle avait douze ans de moins que lui et pourtant, elle était dotée d'une intelligence incroyable qui laissait toujours Adam perplexe. Et puis Lucie, la petite dernière de seize ans sa cadette. Cette adorable petite bouille que Adam adorait. "- Je t'ai entendu te disputer avec papa et j'arrive plus à dormir...". Elle avait l'air si apeuré que Adam regretta rapidement ce qu'il avait dit à son père. Il soupira alors, ouvrant le drap devant lui, tapotant sur le matelas. "- Viens te coucher !". Il n'était pas rare que Olivia et Adam dorment dans le même lit. Sa sœur était encore très jeune et elle faisait souvent des cauchemars. Adam était toujours là pour elle. Bien sûr, Lucie était trop jeune pour quitter son lit de bébé alors du coup, elle restait souvent seule... La gamine ne se fit pas prier et sourire aux lèvres, elle se glissa sous les draps, se serrant contre son grand frère...